Comme le chantait Léo Ferré, en ce temps-là, «pour tout bagage, on a vingt ans…», Lisa Séror n’avait qu’une vingtaine de printemps et des pincements au cœur, quand elle s’apprêta à quitter son pays, sa tendre Tunisie. Ce fut dur de partir et de laisser un ciel si bleu, un soleil aussi radieux les trois quarts de l’année, et cette …